Jean Winiger – Ed. La Société des Écrivains, Paris

Les vertiges d’un banquier

Ce roman s’inspire d’une histoire vraie. Il soulève des questions sur la finance, la banque et l’économie, mais surtout sur une vision éthique du monde.
Au-delà de ces questions, se présentent des signes d’espérance nourris de réflexions, d’engagement, de responsabilité collective et individuelle. Une histoire traitée également avec humour, émotion et poésie, dans une narration qui s’apparente à un thriller.


Le vernissage a eu lieu le 28 novembre 2020 en privé en raison de la crise sanitaire, en présence de l’auteur et de Monsieur Pascal Corminboeuf ancien conseiller d’Etat.

Vous pouvez revivre celui-ci sur la page vernissage ou en cliquant sur le bouton ci-contre.


Ces « Vertiges » me sont venus comme un appel au secours pour ne pas sombrer. Comble d’ironie, ça s’est passé au moment où à la direction de la banque je faisais le plus de chiffre, de profit.

Biographie

Jean Winiger

Après l’écriture de 65 pièces de théâtre et de 3 ouvrages publiés en Suisse (D’où viens-tu mon grand, De si jolis yeux (Ed. de l’Aire) et une biographie de l’abbé Bovet (Ed. Cabédita) Jean Winiger a ressenti le besoin, l’urgence d’écrire sur son monde du XXIe siècle.
Comment donner forme aux questions qui souvent nous dépassent ? Cela a été rendu possible grâce à la rencontre d’un banquier qui cherchait comme lui un sens éthique à l’action.

Le banquier tenait une sorte de Journal qu’il avait intitulé Vertiges. Une mine, des pistes souterraines vers la clarté de la conscience. L’histoire n’aurait pas eu de rebondissement, et de sens, sans la démission forcée infligée au banquier après 27 ans de travail florissant.

Comment ne pas remarquer qu’à l’aveuglement de notre temps resurgit un besoin irrationnel d’espoir ?

Deux ans d’entretiens, de confidences, d’échanges privés et professionnels ont fait cette histoire. Elle aurait pu ne peindre qu’un monde asservi à l’argent et à la finance ; et enfermer les deux hommes dans un pessimisme radical. C’était sans compter sur ces « Bienfaisants » dont un des modèles a été le père de l’ex-banquier. Au delà de la souffrance, l’espoir a grandi, est devenu signe d’un monde meilleur.


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